pelloche

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lundi 7 avril 2014

Un béret comme...


Après le turban, le béret!
Parce que dans mes tentatives de me rapprocher du glamour vintage hollywoodien, le couvre-chef, c'est extrêmement important.

Il faut donc impérativement un béret. D'abord, en tant que française, il faut que je me conforme à l'image qu'on a encore de nous (en espérant que c'est plutôt Dorléac que Gabin).

Et puis y'a un côté mauvais genre dans le béret, cette manière de poser nonchalamment sur le côté, comme Marlène Dietrich

Ou encore à la loubarde comme Faye Dunaway dans Bonnie and Clide.











Le béret, c'est aussi l'accessoire de l'artiste par excellence, celui dont va s'affubler tout peintre/sculpteur/poète wanabee, comme Dick Miller dans A Bucket of Blood (on reparle très vite de ce film, petit bijou d'horreur de Roger Corman)

Donc moi, j'ai réalisé mon petit béret. J'ai choisi pour ça le modèle de Drops Etoile, que je trouve adorable, et qui en plus est accompagné d'un tour de cou absolument craquant, alors comment résister?

Comme préconisé, j'ai utilisé le fil Lima, très agréable à travailler, en violet.

Le modèle présente de jolis motifs, sympa à tricoter, et m'a permis, pour la première fois, d'utiliser des aiguilles doubles pointes (j'étais pas peu fière, dites donc!)

Le travail a plutôt vite avancé, et le diagramme était très simple à comprendre. Du coup, comme il me reste un peu de fil, je suis sur les mitaines assorties...














Alors voilà, c'est pas encore Casablanca, mais je suis très contente du rendu, aussi bien du béret que du tour de cou, avec son côté Colombine. En plus, c'est assez doux et c'est chaud (d'accord, argument bidon par les temps qui courent, mais qui saura convaincre d'ici 2/3 saison).








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